dimanche 3 novembre 2013

Un sujet tabou dans le sens de la pensée unique



Bien entendu le Nouvelliste passe comme chat sur braises sur cette affaire de même que les médias de Romandie. 
 
Je veux bien il ne faut jamais déranger les imbéciles heureux !

Valais

31 octobre 2013 23:05; Act: 31.10.2013 23:19 Print

Elle veut vivre selon la foi juive: prof virée

Une enseignante de branches religieuses a été licenciée après avoir quitté le catholicisme. Le Canton a ouvert une enquête.

Diplômée de l’Université de Lucerne, Edith Inderkummen est enseignante en religion. A l’automne 2012, cette ex-parlementaire et présidente de la commune haut-valaisanne d’Erschmatt enseignait cette matière à temps partiel au Cycle d’orientation de Brigue.

Cours unifiés en Suisse romande
Le Plan d’études romand définit les objectifs de l’école publique. Ces derniers sont identiques, même si une marge de manœuvre est laissée aux cantons pour 10 à 15% des matières. Ainsi, en Valais, un cours de religion est conservé au ¬Cycle d’orientation, en plus de cours d’éthique et cultures religieuses communs aux cantons romands, ainsi qu’au Tessin.
Mais en mars dernier, cette catholique a décidé de faire un «retour aux racines juives du christianisme» et de tourner le dos à l’Eglise catholique. La sanction a été immédiate. La direction scolaire l’a convoquée et lui a signifié qu’elle n’était plus autorisée à enseigner la religion. L’évêque de Sion, Mgr Norbert Brunner, l’a privée du droit de dispenser des cours d’instruction religieuse, selon infosperber.ch. La décision découle d’une convention qui existe entre le Canton et l’évêché. Le texte stipule que seuls les croyantes peuvent donner des cours de religion. Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
Le vicaire général est intervenu, au nom de l’évêque, auprès du Département de l’instruction publique et de la direction de l’école pour qu’Edith Inderkummen soit également interdite de cours d’éthique et cultures religieuses. Il lui avait d’abord été demandé de donner des cours de manière très rigoureuse et de soumettre ses cours un ou deux jours à l’avance à l’inspecteur des écoles. Finalement, elle a été licenciée.
Surpris par cette décision, le chef du Département de l’instruction publique, Oskar Freysinger, a ordonné une enquête, précise le «Walliser Bote».
(jbu/jb

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