Burkhalter s'empare des Affaires étrangères titre la presse romande

Burkhalter l’homme d’état le plus sénile depuis l’empereur François-Joseph II d’Autriche n’est qu’un faire valoir comme le furent tous les conseillers fédéraux neuchâtelois qui occupèrent malheureusement ce poste.

Aussi lisse qu’une anguille, cet officier “spécialisé” aux cheveux gominés puant le Brylcreem à longueur de journée lors de chaque sortie officielle se croit à l’école enfantine en tenant par la main son épouse de souche autrichienne. A quand la distribution de viennoiseries et de Mozart Kugeln (tête de Mozart faite d’un mélange de chocolat et de pâte d’amandes) ?

Avec son allure de maître d’hôtel et à son port de tête altier il brillera certainement sur le parquet international par sa flagrante incompétence en politique étrangère.

Elections fédérales du 14 décembre 2011

L’élection d’Alain Berset est une victoire des comitards du Conseil des Etats mais aussi de son frère de lait Christian Levrat et de l’autre membre de la « Freiburgische Connection » la girouette PDC Urs Schwaller.

Le PS sous la houlette de Levrat a d’abord éliminé d’une façon malhabile Stéphane Rossini afin de pouvoir présenter un ticket composé de représentants du ventre mou de la Suisse. Ensuite, grâce aux magouilles des dzodzets, l’affaire fut réglée en un tour de main et l’Assemblée fédérale a élu à la fois un apparatchik et un comitard d’arrière salle de bistro.

En tant qu’habitant du Vieux Pays, je suis très déçu de cette élection; je suis convaincu qu’avec Pierre-Yves Maillard le bassin lémanique et le Valais auraient été mieux entendu et défendu au sein du Conseil fédéral.

P.S.

Quelques langues de vipères prétendent que les lobbys pharmaceutiques, des télécoms et des assureurs maladie auraient fait de fortes pressions au sein du PLR afin qu’Alain Berset soit élu plutôt que Pierre-Yves Maillard.

On peut supposer que Levrat sera candidat au Conseil d’Etat fribourgeois pour remplacer l’arlequin à tête rasée.

La TSR plus que partisanne...

Hier j’ai assisté en direct sur la TV suisse allemande à l’ouverture de la session d’hiver qui fut retransmise en directe dès 14h30.

Ce fut un moment d’intense émotion que d’écouter le discours du doyen des parlementaires et celui du benjamin le valaisan Matthias Reynard qui sut aller droit au cœur des élus de tous les partis par ses mots simples et sincères.

Bien entendu, comme à l’accoutumée, la TSR n’a pas jugé utile d’ouvrir une fenêtre dans ses programmes de l’après-midi consacrés aux navets habituels.

Le soir dans le journal télévisé ils ne pouvaient pas faire pire, ils ont complètement escamotés le discours de Reynard. On y sent ici la haine sous-jacente de certains journaleux de Piogre, les dents blanches et le sourire niais de Roche-beau-bois complétaient le tableau.

Il est clair que pour ces helvéticophobes chanter l’hymne national est un outrage à une certaine population plus préoccupée de ripailles en France voisine que de solidarité confédérale.

Attention au retour de manivelle lorsque le cran d’arrêt lâche !

Angela Merkel dans la tourmente...

Il fallait voir hier Angela Merkel devant le Bundestag (parlement) elle tapait du poing sur la table, pointait un index qui se voulait accusateur pour s’opposer à la création d’Euro Bonds le rêve du sardinier portugais Baroso. Elle me rappelait l’intervention du pitre soviétique au nez en trompette Kroutchev lors de son intervention auprès de l’ONU lorsqu’il tapait le pupitre avec une de ses godasses en 1960

Pour le plaisir :

http://www.planetenonviolence.org/La-Chaussure-Comme-Arme-Politique-Un-Precedent-A-L-ONU_a1757.html

Toutefois, hier, l’Allemagne s’est ramassé une baffe de derrière les fagots : elle voulait lever 6 milliards d’euro au taux de rendement sur  10 ans de 1,98%. Seulement 3,9 milliards furent levés, le solde pris en charge par la Bundesbank.

Un désastre sans pareil qui ne s’était jamais produit dans le passé.

Les investisseurs n’accordent plus aucune confiance au gouvernement Merkel.