L'élection du prince
Ali Bin Hussein serait un choix judicieux contrairement à celle du petit
Platini tout embourbé dans ses relations avec Sarkozy et le Qatar.
En outre, lors de la
catastrophe de l'Heysel l'attitude outrageante de Platini dansant de joie après
avoir marqué le but de la victoire sur un penalty inexistant puisque la faute
eut lieu à plus d'un mètre des 11 mètres nous laisse un goût nauséabond.
Tordu en 1985 et depuis
magouilleur le Français ne s’est pas amélioré loin de là.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire